Dans l’attente, la notion d’éco responsabilité reste une réalité avec laquelle nous devons composer, chacun à notre mesure. Voici quelques petits trucs et astuces qui pourraient vous y aider au quotidien.

Être écoresponsable : qu’est-ce que cela signifie ?

Être écoresponsable signifie faire des efforts pour respecter l’environnement et la nature. Entreprise, particulier, ménages nous nous efforçons désormais de protéger la planète grâce à l’amélioration de nos manière de travailler, de consommer (l’eau, le numérique, l’énergie) de nous déplacer. Le but de ces démarches, c’est de réduire la croissance de la crise écologique dans le monde.

Encore une fois ne nous trompons pas, le combat véritable est à l’échelle macro-politique ; les petites guéguerres de voisinage et les petites bigoteries qui favorisent la fracture sociale doivent rester hors du champ. Ne pas basculer dans l’hérésie, l’hystérie et pratiquer le sens critique est le premier devoir de toute écologie sérieuse. L’écoresponsabilité est quelque chose qui s’organise, ce n’est pas une petite leçon d’autorité qu’on donne d’un piédestal.

Comment être un citoyen éco responsable au quotidien ?

Pour être qualifié de citoyen éco responsable, l’idéal est de réaliser des gestes répétitifs et utiles au quotidien. Tout d’abord, les fruits et les légumes ont été longtemps consignés dans du plastique, ce qui est absurde et inutile. Aujourd’hui, il est possible d’acheter des végétaux dans des contenants écologiques et recyclables. Là encore, les supermarchés ne vous laisseront pas toujours le choix mais vous pourrez privilégier ceux qui font ce genre d’efforts.

Ensuite, concernant les moyens de transport, l’idéal serait de recourir aux solutions non motorisées telles que : le vélo, la marche ou le roller. Les transports en commun sont également à adopter dans l’optique d’être un citoyen éco responsable au quotidien. Bien entendu, pour qui vit à la campagne ou à des km de son travail, cela ne peut pas s’appliquer et c’est encore une autre chose qu’il faut souligner. Les concentrations urbaines ont donné naissance à la nécessité d’une écologie urbaine. Le mode de vie rural ne peut être calqué sur le mode de vie urbain. Il existe donc nécessairement une écologie rurale.

L’actualité ne cesse d’en faire ses choux gras. Pour les déplacements nationaux, il est conseillé de préférer le train au lieu de l’avion. En effet, la consommation en carburant pour un seul individu au cours d’un voyage en avion est cinq fois plus élevé que celui d’une personne qui prend le train. Dans un article futur, il pourra être utile de se poser la question du tourisme aérien de masse, du volume du fret aérien mondial, des pays les plus polluants en matière aérienne, etc, mais pour l’instant nous raisonnons au niveau individuel.

Comment être un citoyen écoresponsable au bureau ?

Le concept d’écocitoyenneté s’applique également au bureau et au milieu professionnel. Cela passe par l’utilisation d’ampoules à basse consommation et de fournitures recyclées. En outre, le chauffage et la climatisation font partie des principaux postes de consommation au sein d’une structure. Pour éviter les dépenses inutiles d’argent et d’énergie, il est recommandé de mettre le chauffage à une température moyenne de 19°C en hiver. Il est évident que l’isolation correcte est un des clefs principales pour éviter les déperditions. En été, l’idéal serait d’éviter la climatisation et d’ouvrir les volets et stores afin de conserver la fraîcheur.

Enfin, les équipements tels que les machines à café, les ordinateurs et les imprimantes doivent être éteints avant de quitter le bureau. Cela permet d’économiser de l’énergie et de préserver la longévité du matériel.

Il existe encore une quantité de gestes pour éviter les dépenses inutiles d’eau par exemple, on pourra y ajouter l’importance de procéder au tri de ses déchets mais vous savez sans doute déjà tout ça. D’une certaine façon, le plus intéressant reste de réfléchir, chacun à son niveau, à comment optimiser son mode de vie pour protéger notre environnement.

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Généralités sur l’écologie scientifique

L’écologie scientifique est un pas en avant vers l’extérieur. Si le biologiste a pour but de comprendre la digestion, la reproduction et la respiration, l’écologue a pour mission d’étudier l’organisme dans un espace et un temps où la digestion, la reproduction et la respiration se produisent. L’écologue s’intéresse d’abord à la diversité des formes et des espèces, mais également aux raisons pour lesquelles certaines espèces peuplent un lieu plutôt qu’un autre. Il étudie aussi les conséquences directes de la présence des êtres vivants sur leur milieu.

L’écologie consiste donc à réaliser l’étude des conditions dans lesquelles les différentes espèces deviennent ce qu’elles sont. Il a fallu attendre le scientifique Allemand Ernst Haeckel pour proposer le terme « oekologie » pour décrire cette nouvelle science, celle des conditions d’existence.

Le programme est alors lancé. Il ne s’agit pas de s’intéresser à l’organisme, ou à tel phénomène vital isolément, ni même aux ressemblances des espèces les unes avec les autres, mais à ce qui conditionne l’existence des organismes. Darwin apporte une explication à l’origine des espèces et à leur diversification, Haeckel propose d’enquêter sur la manière dont cette idée s’exprime sur le terrain.

Pourquoi l’écologie scientifique ?

On parle d’écologie scientifique, car l’écologue associe les enjeux à un pas en avant. Il n’essaie pas seulement de décrire le monde des vivants, mais il essaie aussi de le comprendre. Après Ernst Haeckel, Charles Sutherland Elton, autre fondateur de l’écologie scientifique, décrira l’écologue comme un « enquêteur, capable, plus que la plupart des scientifiques, de se diriger dans un grand labyrinthe d’interrelations et de variables. » Pour Elton, la mission du scientifique écologue consiste à étudier les processus naturels. Il cherchera des régularités, des associations et des règles. Pour trouver ces dernières, il utilise des méthodes qui permettent de formuler des généralisations.

Pour l’écologue scientifique, la construction du fait scientifique est une démarche compliquée, mais pas impossible. Elle consiste à mener des expériences, à confronter des modèles et à tester différentes théories. Dans le processus, l’écologue applique des notions mathématiques et de physique. Il invente même ses propres concepts dans le but de comprendre les êtres vivants et leurs interactions entre eux et avec leur environnement.

En définitive, bien avant d’être un mouvement politique et réformiste, l’écologie est d’abord une science complexe du vivant en interaction avec son milieu. Les paramètres sont d’autant plus complexes que la réalité observée l’est. Autrement dit, comme dans toute science, il est plus facile d’arriver à des conclusions fiables en ayant précisément défini son champ d’observation et en le bordant, qu’en observant des phénomènes globaux sujets à des centaines de paramètres et influences complexes. Dans tous les cas, les lois supposés des causes et effets et la vérification des hypothèses doivent pouvoir être conduites précisément pour prétendre au nom de science (cf notion de Falsificabilité chez Karl Popper).

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Combien dépense une machine à sous ?

Pour faire fonctionner les machines à sous, une impressionnante quantité d’énergie est dépensée. Même lorsqu’elles sont inactives, elles consomment de l’électricité. Lorsqu’on estime à quoi équivaut 24 heures de puissance de machines à sous, on se rend compte que les grands casinos à Las Vegas comptent comme de grandes sources de consommation aux États-Unis. Ainsi, les dépenses en énergie de 200 000 machines sont chiffrées à 144 000 dollars par heure. Ajoutez les lumières d’ambiance, le chauffage ou la clim’… On imagine le nombre de Kilowatts électriques brûlés pour arriver à un tel chiffre. Si ces résultats sont impressionnants et peuvent faire pousser des cris à certaines (pas d’hystérie on a dit !) on comprend pourquoi l’on questionne, de plus en plus, la possibilité de rendre ces espaces culturels plus écologiques.

Comment un casino peut-il devenir plus écologique ?

Un casino peut devenir plus écologique à condition de réaliser les actions nécessaires pour tendre vers ce but. Certains casinos l’ont compris d’ailleurs qui font déjà des efforts pour se rendre plus vert et réduire l’impact de leurs jeux et divertissements sur leur environnement.

L’éclairage

L’électricité est l’un des éléments qui a le plus d’impact sur l’environnement. Tous les casinos sont lumineux, car ils sont bien alimentés. Pour rendre un établissement plus vert et plus attrayant, l’idéal serait de se tourner vers les lumières LED ou vers les panneaux solaires. Grâce à ces derniers, ils profiteront de l’électricité générée par le rayonnement du soleil.

Les matériaux de fabrication

Dans les casinos déjà créés, l’utilisation des matériaux de fabrication écologiques n’est pas toujours possible sans de profonds investissements. Cependant, dans les nouveaux établissements utiliser des matériaux recyclés et favoriser de solides isolations s’imposent. Par ailleurs, la disposition des portes et des fenêtres doit être nécessairement prise en compte de façon à améliorer la ventilation et à optimiser les consommations d’énergie en chauffage et climatisation.

Accessibilité du lieu

Dans le but de faciliter les déplacements à leurs clients, les nouveaux casinos en voie d’implantation devraient également se situer dans des lieux facilement accessibles par les transports en commun. On pourrait imaginer sinon des mini-bus en navette régulières pour aller chercher les clients à certains points convenus. Egalement, de plus en plus de conducteurs seront amenés à se tourner vers des véhicules électriques, même si c’est une solution indirectes, favoriser le stationnement et le rechargement de voitures électriques pourrait être un bon moyen de participer à la transition.

Le chauffage et la climatisation

C’est un des nerfs de la guerre, en été comme en hiver, la majorité des casinos a tendance à utiliser la climatisation et le chauffage. Au vue de leurs larges plages d’ouverture, cela a pour effet d’augmenter considérablement la consommation en électricité qui pourrait être réduite grâce à l’utilisation de solutions écologiques. Il existe des solutions récentes qui permettent de sérieuses économies de charges et d’énergies moyennant certains investissements. Certains casinos en France les ont déjà mises en œuvre en rencontrant de véritables succès.

Les déchets

Pour devenir plus écologiques, les casinos doivent intervenir au niveau de leurs bars et de leurs restaurants. Parmi les mesures qui peuvent être préconisés, les gobelets, les pailles ou tout autre objet jetable devraient être évités. Côté cuisine, la gestion de l’économat et des achats devraient être également tourné vers l’antigaspi avec aux achats une préférence pour les circuits courts.

Les casinos en ligne sont-ils plus écologiques ?

Contrairement à ce que certaines personnes pensent, toutes les activités en ligne ont un poids sur l’environnement. Un simple mail envoyé a pour effet de polluer l’environnement. Cependant, lorsqu’on compare les demandes énergétiques d’un casino physique à celles d’un établissement virtuel, le résultat est sans appel. Les établissements de jeux virtuels sont évidemment bien plus verts que les autres.

Le casino en ligne peut-il devenir une alternative plus acceptable pour les joueurs qui défendent des valeurs écologiques ? Pour les amateurs de jeux, plusieurs raisons pourraient justifier le fait de privilégier les jeux virtuels. Tout d’abord, à l’exception de l’ordinateur ou du smartphone de l’utilisateur et du serveur qui héberge le casino, il n’y a pas besoin d’électricité pour faire fonctionner chacune des machines à sous proposées puisque tout se passe sur la toile.

Virtuellement, le même jeu de casino en ligne peut aussi accueillir un nombre illimité de clients. Ainsi, une machine à sous informatique peut-être occupée par plusieurs joueurs à la fois qui y tentent leur chance individuellement. Disons qu’il faut ensuite ajouter des serveurs si la charge devient trop importante ou même acheter plus de bande passante, mais cela n’a rien de commun avec les dépenses d’un casino comme ceux de Las Vegas qui proposent dans leurs espaces de jeux jusqu’à 1500 ou 2000 jeux électroniques branchés en permanence, 7J/7 et 24/24.

Ensuite, les joueurs n’ont pas à se déplacer sur des kilomètres pour profiter des plaisirs du jeu. Cela évite la pollution et la consommation de carburant. Encore une fois la grosse part énergétique avec les casinos virtuels tient dans l’utilisation des serveurs pour transmettre les données auxquelles vient s’ajouter les dépenses local du visiteur pour y jouer (téléphone, PC, connexion internet). Certains joueurs vous diront que cela ne remplace pas une vraie soirée dans un casino traditionnel. On les comprend même si les temps changent et que tous les loisirs se virtualisent indubitablement. Encore une fois tout est question de mesure et le plus gros chemin qui reste à franchir doit l’être par les établissements pour réduire leur impact sur l’environnement.

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Généralités sur l’écologie politique

L’écologie politique se différencie de l’écologie traditionnelle qui est une discipline scientifique. Ici, on parle d’un ensemble de courants, largement diffusés depuis les années 1970 qui insistent sur la considération des enjeux écologiques dans l’action politique et dans l’organisation sociale.

L’écologie politique est un mouvement social et culturel aux influences variées. Ce qui fait sa particularité, c’est qu’il prône une profonde transformation du modèle économique et social actuel et la remise à plat des relations entre l’homme et son environnement.

Sur le continent Américain, les principaux acteurs liés à l’écologie politique sont Rachel Carson, Henry David Thoreau et Aldo Leopold. En Europe, le géographe et militant anarchiste Élisée Reclus fut le premier à s’impliquer dans l’écologie politique.

Origines de l’écologie politique

La première apparition du terme « écologie politique » a eu lieu en 1935. La notion fut alors employée par l’américain Frank Thorne. Plus tard, elle a été utilisé dans le contexte de l’écologie humaine et de la géographie humaine.

Les origines de l’écologie politique dans les années 1970 et 1980 sont liées à l’écologie culturelle et à la géographie du développement. Dans l’histoire, cette pratique s’est concentrée sur les problèmes qui affectent le monde en développement. Les diverses recherches menées ont d’ailleurs pour but de comprendre les dynamiques politiques qui entourent les luttes discursives et matérielles sur l’environnement dans plusieurs pays du tiers monde.

Les différents chercheurs qui se sont concentrés sur l’écologie politique proviennent de divers milieux universitaires. Ce sont généralement des étudiants en développement, en sciences politiques, en foresterie, en géographie, en sociologie, en anthropologie et en économie. En outre, au début des années 1970, une première étude du Club de Rome a été publiée au sujet de l’écologie politique dont l’impact avait alors concerné plus d’individus que de mouvements politiques.

Dans toute l’Europe, c’est également au cours des années 1970 que l’écologie politique est née. D’ailleurs, la Conférence des Nations unies sur l’environnement de Stockholm fut organisée en 1972. Au cours de la même année, le parti britannique PEOPLE fut crée, devenant ainsi le premier parti écologiste. Le thème vert s’est imposé assez vite en Allemagne et a pu jouer assez vite des rôles de balancier dans l’équilibre des pouvoirs.

En bref, l’écologie politique cherche à allier le besoin de protéger la planète et les enjeux politiques. Aujourd’hui, il existe plusieurs partis politiques qui défendent des valeurs écologiques. En réalité, on pourrait presque dire sur un pays comme la France qu’il n’existe aucun parti qui renie vraiment l’importance de l’écologie dans le devenir de l’homme. Les débats subsistent sur les causes, les moyens à mettre en œuvre et les lignes d’action, plus que sur les principes.

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Généralités sur le Rassemblement Citoyen

Le Rassemblement Citoyen est un mouvement politique citoyen créé le 27 février 2002 à Villeneuve d’Ascq. Depuis sa création, il entend jouer son rôle dans les crises écologiques actuelles.

Dès le départ, ce parti s’est fixé pour objectif de donner un nouveau sens à la politique en associant des citoyens de tous les horizons qui partagent les mêmes valeurs de solidarité. Actuellement, le Rassemblement Citoyen compte plus de 500 adhérents, sans oublier les autres sympathisants dans la métropole lilloise et partout en France. Il s’est déjà présenté directement et indirectement aux campagnes électorales, depuis les élections législatives de 2002, jusqu’aux élections municipales de 2020.

Dans l’histoire du Rassemblement Citoyen, on retiendra que le mouvement a déjà remporté de belles victoires aux élections municipales de Villeneuve-d’Ascq avec Gérard Caudron. Pour l’heure, ce parti politique continue de soigner sa croissance en recherchant des citoyens qui défendent les mêmes valeurs et l’amour de l’écologie.

Quelles sont les valeurs du Rassemblement Citoyen ?

Le Rassemblement Citoyen a placé au cœur de ses priorités un certain nombre de valeurs intéressantes. Mouvement écologique et participatif, il fonde son projet économique et politique sur la transition énergétique et le développement écoresponsable.

Le Rassemblement Citoyen prône aussi le « vivre ensemble » dans la république. En d’autres termes, c’est un parti laïque qui respecte toutes les religions et leurs pratiques, du moment qu’elles sont légales et qu’elles ne constituent pas un obstacle aux libertés individuelles et collectives.

Enfin, le Rassemblement Citoyen se veut humaniste. Par conséquent, il lutte contre toutes les formes de discriminations (sexe, race, religion). Dans ses ambitions, le RC entend aussi combattre toutes les atteintes à l’intégrité et à la dignité humaine.

De plus en plus de mouvements dans le monde qui prônent la transition écologique et le Rassemblement Citoyen est un de ceux là sur le sol français.

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